Discussion:Organisme génétiquement modifié/brouillon2

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J'ai mis la grosse hache de guerre dans ce brouillon, son but initial été de montrer la place qu'occuperais le débat dans l'article. Je crois que nous avons tous compris et je propose de prévoir tout les résumé au même endroit (ici) parce que là on va s'y perdre c'est sûr !

Pour l'ordre, je crois que l'apparition chronologique serait bien...

Débat éthique[modifier le code]

La singularité d'un ogm par rapport à d'autres organismes qui ne seraient pas modifiés génétiquement ne constitue pas une réalité universelle[1]. Si certains attirent l'attention sur la continuité qu'il existerait entre un OGM , produit du génie génétique, et les différents produits tant végétaux qu' animaux issus de sélection, hybridation que l'homme a pu réaliser depuis les 1° manifestations de l'agriculture et de l'élevage, il y a 8000 ans[2], d'autres préfèrent stigmatiser la rupture qu'opèrerait ces techniques qui permettent de transformer l'information génétique des organismes en effaçant le repère de la barrière des espèces sur lequel la culture occidentale[3] s'est construite. D'autres encore regrettent "que la critique des OGM ne se soit pas exprimée du côté de la science. Comme si, tout à coup, l’esprit critique n’était pas aussi le progrès"[4]


Débat juridique : breveter le vivant[modifier le code]

L'expression de ce clivage se manifeste dans la législation. Ainsi, si la plupart des pays, en référence au Protocole d'Athènes, organisent le droit de breveter le vivant en prenant en compte la différence existant entre les produits issus du génie génétique et les autres, d'autres n'intègrent pas dans leur législation cette alternative. Ce parti-pris de principe explique les conflits qui subviennent au sujet de l'import/export non seulement des semences produites par le génie génétique, mais aussi de certains de leurs sous-produits qui seraient susceptibles d'en contenir, venant de ces régions aux législations antagonistes[5]. C'est ainsi que par exemple la possibilité d'un traçage que réclament les consommateurs[6]est impossible à organiser dans l'état actuel des dispositions pour les produits venant de régions qui ne reconnaissent pas la spécificité de la manipulation génétique.


Débats scientifiques[modifier le code]

La plupart des grandes instances scientifiques s'accordent sur le fait que les ogm actuellement autorisés à la production et à l'alimentation ne posent pas de problèmes sanitaires et écologiques[7]. Elles sont rejointes par de grandes instances internationales [8].

Cependant, des voix alternatives se font entendre qui regrettent outre le manque de recul qu' il y aurait quand à l'impact de ces produits sur la santé humaine et sur l'environnement[9], l'insuffisance "des rares études disponibles (qui) ne pouvaient pas être considérées comme validées sur le plan scientifique"[10]. Elles dénoncent aussi les problèmes que constitueraient le fait que les expertises dans ces domaines soient laissés à la responsabilité des industries propriétaires des brevets[11] et les conflits d'intérêts qui se manifestent quand, par ex., des responsables des instances décisionnaires sont aussi parti-prenante de ces industries[12]

Débats politiques/économiques[modifier le code]

L’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[13]

Les partisans d'une agriculture paysanne dénoncent le choix d'une agriculture intensive qui serait corrélée à ce type de production[14] et qui s'opposerait au concept de souveraineté alimentaire. Dans cette perspective, ils s'interrogent sur les risques que feraient courir une agriculture mondiale dominée par l'industrie agroalimentaire et sur les risques de néo-colonialisme que constituerait la législation sur la brevetabilité du vivant[15]. Avec des grandes institutions internationales, ils relèvent le problème de la frontière technologique [16].Ils regrettent que les efforts économiques consentis pour la recherche dans les biotechnologies se fassent aux détriments, selon eux, d'une politique agricole plus adaptée aux réalités territoriales. Dans ce contexte, ils remettent en cause les promesses faites par les industries quand à l'amélioration des semences comparé à l'amélioration à moindre cout que constituerait un choix de développement agricole plus diversifié et plus respectueux de l'environnement. Ils sont rejoints sur ce point par les mouvements écologistes qui insistent quand à eux sur l'impossibilité qu'il y aurait à faire cohabiter une agriculture d'ogm avec une agriculture sans ogm.

Traitement médiatique des ogm[modifier le code]

Plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que la question des OGM reste scientifique. Jean de Kervasdoué, agronome et économiste, considère dans Les prêcheurs de l'apocalypse que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Il écrit ainsi que « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque. »[17] Claude Allègre, géochimiste et ancien ministre, souligne également, dans Ma vérité sur la planète, le manque de traitement scientifique de la question et les préjugés qui règnent[18]. Il écrit que « La répulsion de certains contre les OGM touche au fanatisme » et considère que la lutte anti-OGM est devenue une « religion » avec ses « dogmes »[19]. Dans une émission de France 2, selon Marcel Kuntz, « un torrent de contrevérités et de manipulations fut déversé sur les téléspectateurs »[20].

De leur côté, les acteurs du mouvement anti-ogm regrettent que le public ne soit pas instruit de la question.Christian Vélot, chercheur au CNRS, et identifié malgré lui comme anti-ogm considère que cette mission est une vocation de l'institution à laquelle il appartient[21]. Par ailleurs, les acteurs de ce mouvement s'insurge de la présentation faite par les média d'un mouvement anti-ogm qui serait rétrograde et surtout contre les ogm médicaux quand leur opposition se limite aux ogm agricoles[22].

Flop2 ( résumé des 4 débats ci-dessus)[modifier le code]


La singularité d'un ogm par rapport à d'autres organismes qui bien que modifiés ne le seraient pas par opération de génie génétique ne constitue pas une réalité universelle[23]. Si certains attirent l'attention sur la continuité qu'il existerait entre un ogm , produit du génie génétique, et les différents produits tant végétaux qu' animaux issus de sélection, hybridation que l'homme a pu réaliser depuis les 1° manifestations de l'agriculture et de l'élevage, il y a 8000 ans[24], d'autres préfèrent stigmatiser la rupture qu'opèrerait ces techniques qui permettent de transformer l'information génétique des organismes en effaçant le repère de la barrière des espèces.

Cette question reste cantonnée au débat éthique quand la fabrication d' ogm, dans le cadre médical ou industriel notamment, s'obtient en milieu confiné. Elle est plus largement débattue lorsque celle-ci, pour l'alimentation principalement, se réalise en milieu ouvert.Les avantages qu'apportent ou pourraient apporter les ogm sont alors remis en question au regard des risques sanitaires et environnementaux qu'ils pourraient engendrer. Si la plupart des grandes instances scientifiques s'accordent sur le fait que les ogm actuellement autorisés à la production et à l'alimentation ne posent pas de problèmes sanitaires et écologiques[25], des voix alternatives se font entendre qui regrettent outre le manque de recul qu' il y aurait quant à l'impact de ces produits sur la santé humaine et sur l'environnement[26], l'insuffisance "des rares études disponibles (qui) ne pouvaient pas être considérées comme validées sur le plan scientifique"[27]. Par ailleurs, les difficultés, voir l'impossibilité d'un traçage des ogm entrant dans la chaîne alimentaire ne favorisent pas la confiance des consommateurs[28]. De même que les conflits d'intérêts qui se manifestent quand des responsables des instances décisionnaires sont aussi parti-prenante de ces industries[29]

Si l’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[13], les partisans d'une agriculture paysanne dénoncent le choix d'une agriculture mondiale qui serait dominée par l'industrie agroalimentaire et s'opposerait au concept de souveraineté alimentaire[30], [31]

De leur côté, les mouvements écologistes insistent sur l'impossibilité qu'il y aurait à faire cohabiter une agriculture d'ogm avec une agriculture sans ogm.

Dans le cadre de la législation sur la brevetabilité du vivant, est relevée la problème de la frontière technologique [32]

Ainsi, les débats autour des ogm dépassent le cadre scientifique et les décisions règlementaires des décideurs politiques peuvent être prises sur des bases politiques.

Traitement médiatique des ogm

Plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que la question des OGM reste scientifique. Jean de Kervasdoué, agronome et économiste, considère dans Les prêcheurs de l'apocalypse que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Il écrit ainsi que « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque. »[33] Claude Allègre, géochimiste et ancien ministre, souligne également, dans Ma vérité sur la planète, le manque de traitement scientifique de la question et les préjugés qui règnent[34]. Il écrit que « La répulsion de certains contre les OGM touche au fanatisme » et considère que la lutte anti-OGM est devenue une « religion » avec ses « dogmes »[35]. Dans une émission de France 2, selon Marcel Kuntz, « un torrent de contrevérités et de manipulations fut déversé sur les téléspectateurs »[36].

De leur côté, les acteurs du mouvement anti-OGM regrettent que le public ne soit pas instruit de la question.Christian Vélot, chercheur au CNRS, et identifié malgré lui comme anti-ogm considère que cette mission est une vocation de l'institution à laquelle il appartient[37]. Par ailleurs, les acteurs de ce mouvement s'insurge de la présentation faite par les média d'un mouvement anti-ogm qui serait rétrograde et surtout contre les ogm médicaux quand leur opposition se limite aux ogm agricoles[38].

Les OGM présentent des avantages, dont une partie sont controversés, à la fois sur les plans économique, sanitaire et environnementaux.

L’utilisation de plantes transgéniques permet dans la majorité des cas aux agriculteurs d’accroître la productivité de leurs terres et de diminuer les intrants de pesticides, ce qui réduit l’impact des cultures sur l’environnement[13]. Les petits propriétaires des pays en développement sont selon l’ISAAA les principaux bénéficiaires de l'introduction des OGM[13], mais ce point ne fait pas l’unanimité.

L’ensemble des biologistes s’accordent sur un risque de contamination des plantes sauvages par les nouveaux gènes introduits dans les plantes. Ce risque est pris en compte lors des autorisations de culture ; les autorités sanitaires autorisent l’utilisation d’OGM lorsqu’elles considèrent que le risque d’atteinte à la biodiversité est faible, cependant les mouvements anti-OGM considèrent que le risque demeure trop fort, et que les OGM ne doivent pas être autorisés à la culture.

Concernant les risques alimentaires, l’introduction de nouveaux gènes dans des plantes amnène dans une partie des cas à la production de substances toxiques pour l’homme. Les partisans des OGM considèrent que les échantillons qui satisfont aux tests des autorités sanitaires sont sains à la consommation, et notent d’ailleurs que d’après l’ONU aucun cas d’effet sur la santé humaine n’a été détecté[39]. L’ensemble des risques liés aux OGM ne font pas l'unanimité auprès de tous les acteurs du débat.

Acteurs des débats et traitement médiatique[modifier le code]

Le groupe de pression anti-OGM, très actif en Europe, peu au Canada, et minoritaire dans l’opinion publique américaine, communique au public sur les risques présentés, selon eux, par la culture d’OGM en plein-champs. Ils estiment que les autorités n’auraient pas suffisamment contrôlé les différents effets néfastes possibles des OGM. Ils sont considérés par les partisans des OGM comme des opposants au progrès de la science, pénalisant la recherche agroalimentaire et la compétitivité de leur propre pays au profit d’autres.

Les défenseurs de l'utilisation des OGM soulignent les avantages économiques et environnementaux que présenteraient les OGM et s’appuient sur le fait qu'à ce jour les principaux organismes sanitaires et scientifques, comme l’ONU ou le Conseil international pour la science, concluent à une absence de nocivité. Ils estiment que les autorités sanitaires prennent correctement compte des risques potentiels, et que la majorité des critiques des anti-OGM sont infondés, ne s’appuyant « que sur des incertitudes imaginaires voire mensongères tant sur le plan environnemental qu'alimentaire[40] ».

Selon une étude de Sylvie Bonny (INRA), le débat autour des OGM en Europe et tout particulièrement en France est focalisé sur les risques et non sur les avantages ; les medias de masse ont adopté une posture critique ou même négative, ont fait de la publicité aux mouvements anti-OGM, et cela expliquerait en partie l'opposition de la société civile. De même, plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que les débats autour des OGM restent scientifiques ; ils considèrent que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Jean de Kervasdoué écrit : « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque[41]. » Dans le reste du monde, selon Marc Van Montagu, le débat serait également « centré sur des arguments émotionnels plutôt que sur l'examen des preuves scientifiques[42]. »

Aspects controversés des OGM[modifier le code]

Les OGM sont source de grandes divergences d’opinion, qui conduisent à une absence de consensus au sein des opinions publiques nationales, concernant les aspects économiques, environnementaux, et éthiques. Les avantages prouvés ou potentiels apportés par les OGM s’opposent à des risques sanitaires potentiels et à des craintes sur une éventuelle atteinte à la biodiversité.

Les décisions règlementaires des décideurs politiques varient fortement en fonction des pays et des périodes (multiples autorisations en Amérique du Nord ou au Brésil, autorisation de culture puis interdiction en France, etc.). Elles seraient prises sur des bases principalement politiques.

  • Aspects économiques:
    Alors que l’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[13], les partisans d'une agriculture paysanne voient au contraire dans le développement des OGM le renforcement de l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale et un prolongement du choix d'une agriculture productiviste qui s'oppose en partie au développement de la souveraineté alimentaire dans les pays dont la production agricole est principalement destinée à l'exportation[réf. nécessaire][43].
  • Aspects éthiques:
    Des critiques des OGM portent sur la rupture qu'opèreraient les OGM en franchissant la barrière des espèces. Des scientifiques pensent cependant que les modifications génétiques se placent dans le prolongement des opérations de sélection des plantes et des animaux, et d’hybridation réalisées par l’Homme depuis les débuts de l'élevage et de l'agriculutre. Des notions philosophiques ou religieuses sont également invoquées pour analyser et caractériser l’ensemble des enjeux éthiques.
  • Risques sanitaires:
    Des associations et des scientifiques ont émis des doutes sur l’innocuité des OGM sur la santé des consommateurs. Les OGM pourraient contenir des substances toxiques, des allergènes. Pour l’ONU, le Conseil international pour la science, et les autorités sanitaires nationales des pays ayant autorisé les OGM pour la consommation, ces OGM autorisés sont sains.
  • Risques pour l'environnement:
    Les OGM seraient selon les anti-OGM porteurs de risques sur la diversité génétique, provoquant des pollinisations croisées entre plantes parentes.
  • Coabitation avec l'agriculture biologique:
    Le label « agriculture biologique » est soumis à des normes obligeant les produits alimentaires à respecter une teneur en OGM inférieure à 0,9 %. Des cas de « contamination » entre champs OGM et champs d'agriculture biologique peuvent avoir lieu si l’éloigenement entre cultures n’est pas suffisamment grand. Des controverses portent sur une durée de vie des graines longues qui pourraient dès lors se retrouver foruitement dans des champs des années après les cultures d’OGM.
  • Autres:
    Plus de précision sur l'article détaillé débat autour des OGM.

L'introduction de la biotechnologie représentée par les OGM a rencontré des résistances et des oppositions qui n'ont pas cessé d'alimenter le débat public à partir de la fin des années 1990[44]. L'intensité de cette opposition, qu'elle soit exprimée dans les populations concernées par la consommation de produits issus de cette technologie[45], [46] ou par quelques chercheurs et scientifiques, est variable selon les pays considérés. Fruits du génie génétique, les OGM sont présentés par les semenciers comme la réponse aux demandes des agriculteurs, obtenir un meilleur rendement diminuer en partie l'usage de pesticides sur les cultures [47]. Les scientifiques avancent également que les OGM pourraient être un remède aux problèmes alimentaires mondiaux notamment par leurs capacités à s'affranchir ou s'accommoder de conditions de culture difficiles[48]. La plupart des instances scientifiques internationales s'accordent sur le fait que les OGM actuellement autorisés à la production et à l'alimentation ne posent pas de problèmes sanitaires et écologiques[49] mais échaudés par des crises sanitaires comme celle de la vache folle, les pouvoirs publics ont, au moins en Europe, cherché à répondre aux inquiétudes exprimées par leurs opinions publiques en proposant moratoires et règlementations censées permettre une coexistence des cultures traditionnelles et des cultures OGM. Cependant, l'absence de risque de dissémination n'est pas formellement garantie et les mouvements anti-OGM continuent en conséquence leur lutte, symbolisée en France par le mouvement des « faucheurs volontaires ».

Des opposants aux OGM regrettent, outre le manque de recul face à l'impact potentiel de ces produits sur la santé humaine et sur l'environnement[50], l'insuffisance « des rares études disponibles (qui) ne pouvaient pas être considérées comme validées sur le plan scientifique »[51]. Ils considèrent qu'un OGM se distingue radicalement d'autres organismes qui bien que modifiés dans leur patrimoine génétique ne le sont pas par opération de génie génétique[52]. Les techniques employées transforment et combinent l'information génétique des organismes au-delà de la barrière des espèces. Les chercheurs qui mettent au point ces techniques considèrent quant à eux qu'il ne s'agit que de prolonger l'action de l'homme qui, dans sa maîtrise progressive de l'agriculture et de l'élevage au cours de son évolution, a toujours cherché à sélectionner et croiser les espèces employées[53]. Il s'agit à leurs yeux d'un progrès de la science pour la maîtrise de son environnement par l'homme.

Sur le plan éthique, le développement des OGM entre dans le cadre de la controverse autour de la brevetabilité du vivant. Le dépôt de brevets par les grands groupes industriels du secteur qui leur confère des droits exclusifs sur une partie du patrimoine génétique est très critiqué, au-delà des cercles anti-OGM. Les opposants aux OGM redoutent une mainmise de plus en plus grande de l'industrie agro-alimentaire sur le bien commun universel que représentent pour l'agriculture les espèces naturelles.

Sur le plan économique, l’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%, et que les prix devraient être portés vers le bas comme c'est déjà le cas pour le soja[13]. Pour les partisans d'une agriculture paysanne, et dans le contexte d'une promotion de l'agriculture biologique, la culture des OGM apparait comme le dernier atout d'une agriculture industrielle. Ils voient dans le développement des OGM le renforcement de l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale qui selon eux s'oppose en partie au développement de la souveraineté alimentaire dans les pays dont la production agricole est principalement destinée à l'exportation[54].

L'introduction de la biotechnologie représentée par les OGM a rencontré des résistances et des oppositions qui n'ont pas cessé d'alimenter le débat public à partir de la fin des années 1990[55]. L'intensité de cette opposition, qu'elle soit exprimée dans les populations concernées par la consommation de produits issus de cette technologie[56], [57] ou par quelques chercheurs et scientifiques, est variable selon les pays considérés.

Échaudés par des crises sanitaires comme celle de la vache folle, les pouvoirs publics ont, au moins en Europe, cherché à répondre aux inquiétudes exprimées par leurs opinions publiques en proposant moratoires et règlementations censées permettre une coexistence des cultures traditionnelles et des cultures OGM.


Les arguments du débat sur l'utilisation des OGM
Arguments contre l'utilisation des OGM Arguments pour l'utilisation des OGM
Sur le plan sanitaire
Pour les opposants, les OGM présenteraient des risques pour la santé , notamment les aliments issus de manipulation génétique. La plupart des instances scientifiques internationales s'accordent sur le fait que les OGM actuellement autorisés à la production et à l'alimentation ne posent pas de problèmes sanitaires et écologiques[58]
Sur les plans économique et social
Pour les partisans d'une agriculture paysanne, la culture des OGM est une méthode de l'agriculture intensive. Ils voient dans le développement des OGM le renforcement de l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale qui, selon eux, s'oppose en partie au développement de la souveraineté alimentaire[59]. L’ISAAA estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%, et que cela tire les prix vers le bas, comme c'est déjà le cas pour le soja[13].
Les OGM sont présentés par ses promoteurs comme un remède aux problèmes alimentaires mondiaux notamment par leurs capacités à être cultivés dans conditions de culture difficiles (milieu sec..) et à offrir de meilleurs rendements.
Sur le plan éthique
Éthique économique: le dépôt de brevets par les grands groupes industriels du secteur qui leur confère des droits exclusifs sur une partie du patrimoine génétique est très critiqué, au-delà des cercles anti-OGM. Les opposants aux OGM redoutent une mainmise de plus en plus grande de l'industrie agro-alimentaire sur le bien commun universel que représentent pour l'agriculture les espèces naturelles. Les chercheurs qui mettent au point ces techniques considèrent quant à eux qu'il ne s'agit que de prolonger l'action de l'homme qui, dans sa maîtrise progressive de l'agriculture et de l'élevage au cours de son évolution, a toujours cherché à sélectionner et améliorer les espèces domestiquées[60].Il s'agit à leurs yeux d'un progrès de la science.
Bioéthique: des opposants aux OGM considèrent qu'un OGM se distingue des autres organismes [61]: les techniques employées transforment et combinent l'information génétique des organismes au-delà de la barrière des espèces.
Sur le plan environnemental
L'absence de risque de dissémination dans l'environnement ne serait pas formellement garantie et cela pourrait modifier la biodiversité. Les OGM résistants aux insectes ne nécessite pas d'insecticides, ce qui permet de diminuer en partie l'usage de ces pesticides sur les cultures.

Tooony-1-acc[modifier le code]


La proposition actuel de tooony est donc équivalente à ceci :

Les arguments du débat sur l'utilisation des OGM:

Arguments contre l'utilisation des OGM

Arguments pour l'utilisation des OGM

Sur le plan sanitaire

Pour les opposants, les OGM présenteraient des risques pour la santé , notamment les aliments issus de manipulation génétique.

La plupart des instances scientifiques internationales s'accordent sur le fait que les OGM actuellement autorisés à la production et à l'alimentation ne posent pas de problèmes sanitaires et écologiques[62]

Sur les plans économique et social

Pour les partisans d'une agriculture paysanne, la culture des OGM est une méthode de l'agriculture intensive. Ils voient dans le développement des OGM le renforcement de l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale qui, selon eux, s'oppose en partie au développement de la souveraineté alimentaire[63].

L’ISAAA estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%, et que cela tire les prix vers le bas, comme c'est déjà le cas pour le soja[13].

Les OGM sont présentés par ses promoteurs comme un remède aux problèmes alimentaires mondiaux notamment par leurs capacités à être cultivés dans conditions de culture difficiles (milieu sec..) et à offrir de meilleurs rendements.

Sur le plan éthique

Éthique économique: le dépôt de brevets par les grands groupes industriels du secteur qui leur confère des droits exclusifs sur une partie du patrimoine génétique est très critiqué, au-delà des cercles anti-OGM. Les opposants aux OGM redoutent une mainmise de plus en plus grande de l'industrie agro-alimentaire sur le bien commun universel que représentent pour l'agriculture les espèces naturelles.

Les chercheurs qui mettent au point ces techniques considèrent quant à eux qu'il ne s'agit que de prolonger l'action de l'homme qui, dans sa maîtrise progressive de l'agriculture et de l'élevage au cours de son évolution, a toujours cherché à sélectionner et améliorer les espèces domestiquées[64].Il s'agit à leurs yeux d'un progrès de la science.

Bioéthique: des opposants aux OGM considèrent qu'un OGM se distingue des autres organismes [65]: les techniques employées transforment et combinent l'information génétique des organismes au-delà de la barrière des espèces.

Sur le plan environnemental

L'absence de risque de dissémination dans l'environnement ne serait pas formellement garantie et cela pourrait modifier la biodiversité.

Les OGM résistants aux insectes ne nécessite pas d'insecticides, ce qui permet de diminuer en partie l'usage de ces pesticides sur les cultures.

Tooony amélioré[modifier le code]

L'introduction des OGM dans la filière agro-alimentaire a rencontré des résistances et des oppositions qui n'ont pas cessé d'alimenter le débat public à partir de la fin des années 1990[66]. L'intensité de cette opposition, qu'elle soit exprimée dans les populations concernées par la consommation de produits issus de cette technologie[67], [68] ou par quelques chercheurs et scientifiques, est variable selon les pays considérés.

Échaudés par des crises sanitaires comme celle de la vache folle, les pouvoirs publics ont, au moins en Europe, cherché à répondre aux inquiétudes exprimées par leurs opinions publiques en proposant moratoires et règlementations censées permettre une coexistence des cultures traditionnelles et des cultures OGM.

Arguments évoqués pour ou contre l'utilisation des OGM

Sur le plan sanitaire

L'introduction de nouvelles semences modifiées par génie génétique pourrait présenter des risques pour la santé[69].

La plupart des instances scientifiques internationales s'accordent sur le fait que les OGM actuellement autorisés à la production et à l'alimentation ne posent pas de problèmes sanitaires et écologiques[70]

Sur les plans économique et social

Pour les partisans d'une agriculture paysanne, la culture des OGM, intégrée présentement dans un contexte d'intensification des cultures, renforce l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale et s'oppose au développement de la souveraineté alimentaire[71]

Par ailleurs, les ogm destinées à la consommation ne répondent pas à une demande sociale

Cependant, dans les seuls domaines de la médecine et de l' agriculture, les applications de la recherche représente un marché potentiel qui se chiffre en des centaines de milliers de dollards [72]

L’ISAAA estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%, dont bénéficie les agriculteurs des pays en voie de dévéloppement[13].

De plus, les OGM favoriseraient la résolution des problèmes alimentaires mondiaux notamment par leurs capacités majorées à s'affranchir de conditions de culture difficiles (milieu sec..) et à offrir de meilleurs rendements.

Sur le plan éthique

Éthique économique :

La commercialisation des OGM entre dans le cadre de la controverse autour de la brevetabilité du vivant

Bioéthique Si pour certains la transgénèse présente le risque de s'affranchir de la barrière des espèces, elle est considéréé par d'autres comme une tecnhique supplémentaire conquise par l'homme dans sa maitrise progressive de l'agriculture et de l'élevage.

Sur le plan environnemental

Si les organismes de contrôle (à définir) affirment que les risques liés à la dissémination dans l'environnement des ogm agricoles sont correctement controlés, il subsiste que l'absence de dissémination ne peut être pratiquement garantie et que les risques liées à la modification de la biodiversité sont imprévisibles[73].

Les OGM résistants aux insectes permettrait une réduction de l'apport d'insecticides par épandage. Néanmoins, cette affirmation tente à être remise en question dans le temps.

Résumé désuets[modifier le code]

Passé ce point ce sont d'ancienne ébauches et propositions. Merci.

Risques fréquemment invoqués en matière d'utilisation et de dissémination d'OGM dans notre milieu

  • Les risques alimentaires

Les scientifiques soutiennent généralement que le risque de transfert du transgène est nul.


Certains ne sont pas convaincus et demandent à ce que le produit respecte les procédures d'efficacité et d'innocuité.

Il est souvent évoqué des risques de toxicité et d'allergénicité de la protéine produite. Par exemple : transplantation d'un gène de la noix du Brésil (améliorant la teneur en un acide aminé, la méthionine) dans le génome d?un soja destiné au fourrage. Il s'est révélé que le gène inséré était responsable de l'allergie à la noix du Brésil chez l'homme.

  • Les risques environnementaux

Ils peuvent être liés aux gènes d'intérêt (conférant le nouveau caractère améliorant). Certains redoutent la diffusion des gènes modifiés par croisement entre OGM et plantes cultivées ou sauvages, ou la domination progressive des plantes améliorées. Ils redoutent un risque d'atteinte à la biodiversité, un bouleversement complet des écosystèmes.


Les risques environnementaux pourraient également être liés aux gènes de sélection. Ces derniers sont des gènes insérés en même temps que le gène d'intérêt, mais dont le rôle est de permettre la sélection des cellules modifiées. Les gènes de résistance/tolérance à un antibiotique peuvent être utilisés dans ce but. Certains redoutent la diffusion de ces gènes de résistance à d'autres espèces, et l'apparition de résistance aux antibiotiques chez les bactéries pathogènes pour l'homme et l'animal. L'enjeu de nombreuses études consiste à supprimer ce gène de sélection.

  • Les risques économiques

Les biotechnologies risquent souvent de ne pas profiter à ceux qui en auraient le plus besoin (défaut de solvabilité des pays en voie de développement).

Beaucoup craignent le rôle croissant des grandes firmes de l'agrochimie, de la transformation, et de la distribution agricole, lesquelles contrôlent et orientent de plus en plus fortemment l'évolution du secteur en fonction de leur intérêt économique. Ils redoutent également les pertes de débouchés et de revenus pour les PVD (synthèse de substances actuellement extraites de produits commercialisés dans les PVD).

  • Les risques éthiques

Les manipulations génétiques posent le problème de la bioéthique.Généralement perçu comme moralement acceptable chez les organismes végétaux, bactéries et virus, le recours aux techniques de transgénèse est parfois considéré comme illégitime d'un point de vue philosophique ou religieux, pour les animaux en particulier.

Enjeux

Le sujet OGM mobilise toute notre société, car il concerne notre alimentation, notre environnement, mais aussi notre Économie, notre relation aux autres nations développées et sous-développées.

Cette instrumentalisation de la génétique a réveillé des craintes anciennes de manipulation du vivant ou de modification de l'homme. Le développement des OGM réactive le problème déjà ancien, mais toujours extrêmement actuel, du choix démocratique en matière scientifique et technique.

Pour certains, les OGM constituent l'avenir de l'agriculture, de la médecine, de l'industrie alimentaire et pharmaceutique, du fait de l'énorme potentiel d'amélioration qu'ils recèlent. Ils estiment que les OGM pourraient aider à résoudre le problème de la surpopulation et de la faim dans le monde (augmentation des rendements, plantes résistantes à la sécheresse...)

Pour d'autres, il constituent une insupportable atteinte à un état de nature devant impérativement être préservé; ils considèrent les effets ultimes des OGM comme imprévisibles et irréversibles; le fait que les OGM puissent être brevetés plaide également en défaveur des OGM, car cela peut impliquer une perte d'indépendance des agriculteurs face aux semenciers; ces personnes se prononcent pour le banissement sans appel des OGM.

Beaucoup estiment que, comme toute technique, la transgénèse offre sa part de potentialités bénéfiques et sa part de risques.

Certains estiment qu'une analyse au cas par cas devrait être effectuée avant acceptation ou refus de chaque OGM, car seuls le produit, son usage et son effet devrait importer plus que le mode d'obtention lui-même.

En fonction de l'organisme considéré et de l'objectif recherché, la valeur du bénéfice attendu, les risques liés à l'utilisation et les problèmes éthiques devraient être envisagés.

Pour ces derniers, l'utilisation des OGM est relative à la notion de sûreté biologique, et nécessite impérativement l'application du principe de précaution.

L'arrivée hypermédiatisée des OGM aura eu le mérite de susciter la mise en place progressive de la traçabilité.

L'utilisation des OGM est autorisée aux États-Unis, sur le principe de l'absence de preuve de danger. D'une façon générale, le principe de l'équivalence en substance domine en matière d?autorisation.

De nombreux pays européens, tels que la France, soutiennent une position opposée : pas d'utilisation d'OGM tant que l'innocuité de ceux-ci n'a pas été prouvée. De ce fait, ces pays refusent toute importation d'OGM qui n?a pas déjà une autorisation de mise sur le marché dans l?Union Européenne. Les problèmes issus de cette position ont déjà été portés devant l'Organisation Mondiale du Commerce. Celle-ci a estimé que ne pas autoriser l'importation d'OGM dans un pays créait un obstacle inutile aux règles de commerce internationales.

Opposants aux OGM[modifier le code]

Le groupe de pression anti-OGM est très actif en Europe, et particulièrement en France, au Royaume-Uni[74] en Allemagne, en Autriche, au Luxembourg, en Hongrie et en Suisse. Il n’a pas pris corps majoritairement dans l’opinion publique américaine, mais se manifeste également au Canada[75].

Les mouvements anti-OGM communiquent au public les risques présentés, selon eux, par la culture d’OGM en plein-champs. Ils estiment que les autorités n’auraient pas suffisamment contrôlé les différents effets néfastes possibles des OGM.

Défenseurs de l'utilisation d'OGM[modifier le code]

Les défenseurs de l'utilisation des OGM sont des scientifiques qui s’appuient sur le fait qu'à ce jour aucun effet nocif sur la santé humaine de la consommation des OGM commercialisés n'a été démontré et que l’ONU comme la communauté scientifique concluent à une absence de nocivité[76].

Ils estiment que les autorités sanitaires prennent correctement compte des risques potentiels, et que la majorité des critiques des anti-OGM sont infondés et qu’elles ne s'appuieraient « que sur des incertitudes imaginaires voire mensongères tant sur le plan environnemental qu'alimentaire »[77].

Des agriculteurs et des semenciers défendent également l'utilisation des OGM au nom de la rentabilité économique et du développement durable.

Traitement médiatique des OGM[modifier le code]

Plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que la question des OGM reste scientifique. Jean de Kervasdoué, agronome et économiste, considère dans Les prêcheurs de l'apocalypse que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Il écrit ainsi que « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque. »[78] Claude Allègre, géochimiste et ancien ministre, souligne également, dans Ma vérité sur la planète, le manque de traitement scientifique de la question et les préjugés qui règnent[79]. Il écrit que « La répulsion de certains contre les OGM touche au fanatisme » et considère que la lutte anti-OGM est devenue une « religion » avec ses « dogmes »[80]. Dans une émission de France 2, selon Marcel Kuntz, « un torrent de contrevérités et de manipulations fut déversé sur les téléspectateurs »[81].

Questionnements soulevés[modifier le code]

Conséquences possibles des hybridations sur la flore:

Des risques sont évoqués dans les cas où des transgènes sont diffusés par croisement entre OGM et les autres plantes cultivées ou sauvages. Ceci pouvant modifier la biodiversité si le gène inséré confère à l'organisme un avantage sélectif par rapport à son équivalent non modifié.

Les risques environnementaux pourraient également être liés aux gènes de sélection. Ces derniers sont des gènes insérés en même temps que le gène d'intérêt, mais dont le rôle est de permettre la sélection des cellules modifiées. Les gènes de résistance à un antibiotique peuvent être utilisés dans ce but. Ils correspondent à des gènes conférant la résistance à un antibiotique donné et qui ne sont plus utilisé dans les secteurs de la santé humaine ou animale. D’autres risques sont aussi liés à la diffusion de ces gènes de résistance à d'autres espèces, et l'apparition de nouvelles résistances aux antibiotiques chez les bactéries pathogènes pour l'homme et l'animal (les bactéries colonisant l'homme et les animaux sont à 90% résistants à ces antibiotiques, d'où l'arrêt de leur utilisation en santé publique). La conclusion de nombreuses études consiste à supprimer ce gène de sélection. Dans tous les cas, ces questions se posent pour toutes les PGM antérieures à 2005 puisqu'à partir du 1er janvier 2005, ces gènes marqueurs sont interdits pour toute nouvelle PGM.

Développement de résistances

L'utilisation massive du "même" OGM sur de grande surface peut conduire à une vulnérabilité face à certain ravageurs et maladies. C'est à dire qu'un ravageur adapté à une souche particulière dans un champ pourrait s'attaquer l'ensemble du champ dans une culture unique avec plus d'aisance qu'il ne pourrait s'attaquer à une culture traditionnel comportant plusieur souches distinctes.[82].

Gains économiques:

L’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[13].

Résolution des problèmes de famine:

On a parfois mit de l'avant que les OGM était la solution pour règler le problème de la famine par l'homme, mais la majorité des chercheurs ne sont pas aussi catégorique[réf. nécessaire]. Robert Watson, chercheur du département britannique pour l'Environnement, la Nourriture et les Affaires Rurales, déclarent dans la presse qu'à la question de savoir si les OGM peuvent résoudre la faim dans le monde, « la réponse simple est non »[83]. Il spécifie, entre autre, « Nous devons stimuler l'économie des pays d'Afrique [...] et y travailler pour rencontrer les standards de sécurité alimentaire ».

Sur la toxicité des OGM:

Il est bien entendu, tout à fait possible de créer un OGM toxique si c'était l'objectif visé.[réf. nécessaire] Cependant, les organisme génétiquement modifié que de par quelques gêne ont beaucoup plus de chance d'avoir une composition chimique très près de leur "version" d'origine.[réf. nécessaire] Selon l'Organisation des Nations unies : « De plus, on n’a jamais pu montrer que leur consommation par le grand public dans les pays où ils ont été homologués ait eu un quelconque effet sur la santé humaine. »[84]. Initialement, les autorisations de mise sur le marché des OGM par la FDA, l'EPA et l'USDA reposaient essentiellement sur l'établissement de l'équivalence en substance appelé principe d'équivalence en substance qui met en oeuvre les méthodes permettant le dosage des différents constituants biochimiques présents dans les organismes GM comparativement aux témoins. Si des différences significatives apparaissent, alors des tests complémentaires sont alors réalisés alors que la réglementation Européenne les demandent a priori (tests de toxicité aiguë, sub-chronique et d'alimentarité).[réf. nécessaire] L'impartialité et l'efficacité de ces test sont souvent remis en question par le Mouvement anti-OGM.

Débat éthiques:

Selon Alain-Michel Boudet professeur de biologie végétale (UPS/CNRS) et membre de l’Académie des Sciences[85], « la génétique, et singulièrement les OGM, nous amène à nous poser la question du rapport à la nature. Je remarque par ailleurs que les plantes hybrides, qui existent depuis longtemps, ne sont pas remises en question alors qu’elles sont obtenues par des mélanges de gènes beaucoup plus incertains quant à leurs agencements et à leurs conséquences. Est-ce la précision et la multiplicité dans la palette d’applications qui participent au rejet des OGM ? [..] mettre un gène de chien dans un maïs provoque a priori un rejet fort et une question sur l’ordre de la nature. Mais si cette transgénèse permettait de soigner des maladies graves et fréquentes, on sent bien que la limite de ce rejet serait largement repoussée. Cette idée qu’on ne touche pas à la nature, n’est pas une règle écrite par l’homme, et elle n’est pas fréquemment exprimée dans l’histoire. L’homme n’a jamais cessé d’avancer dans la maîtrise de la nature. On oppose, par exemple, les OGM au développement durable. Mais on peut aussi se poser la question d’OGM qui, comme beaucoup de techniques, seraient au service du développement durable, au service de la préservation de l’environnement. Si la progression de la connaissance et la maîtrise de la nature me semble inexorables, le problème est de savoir si l’homme peut les utiliser pour son bien être. »

opinions diverses:

La plupart des créationnistes sont fortement opposés aux OGM[réf. nécessaire], car selon eux, Dieu ayant tout créé de façon parfaite, c'est un sacrilège grave de tenter de modifier un génome.


La singularité d'un ogm par rapport à d'autres organismes qui bien que modifiés ne le seraient pas par opération de génie génétique ne constitue pas une réalité universelle[86]. Si certains attirent l'attention sur la continuité qui existerait entre un ogm, produit du génie génétique, et les différents produits tant végétaux qu' animaux issus de la sélection et des croisements opérés par l'homme dans sa maîtrise progressive de l'agriculture et de l'élevage au cours de son évolution[87], d'autres préfèrent insister sur la rupture qu'opèreraient ces techniques en transformant et combinant l'information génétique des organismes en s'affranchissant de la barrière des espèces.

Cette question reste cantonnée au débat éthique quand la fabrication d'ogm, dans le cadre médical ou industriel notamment, s'obtient en milieu confiné. Elle est plus largement débattue lorsque celle-ci, pour l'alimentation principalement, se réalise en milieu ouvert. Les avantages qu'apportent ou pourraient apporter les ogm sont alors remis en question en regard d'un risque sanitaire et environnemental potentiel dont l'évaluation sur le long terme est délicate. Si la plupart des instances scientifiques internationales s'accordent sur le fait que les ogm actuellement autorisés à la production et à l'alimentation ne posent pas de problèmes sanitaires et écologiques[88], des voix alternatives se font entendre qui regrettent outre le manque de recul qu' il y aurait quand à l'impact de ces produits sur la santé humaine et sur l'environnement[89], l'insuffisance « des rares études disponibles (qui) ne pouvaient pas être considérées comme validées sur le plan scientifique »[90]. De leur côté, les mouvements écologistes insistent sur l'impossibilité effective qu'il y aurait à faire cohabiter une agriculture d'ogm avec une agriculture sans ogm[91].

Si l’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[13], les partisans d'une agriculture paysanne voient au contraire dans le développement des OGM le renforcement de l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale et un prolongement du choix d'une agriculture productiviste qui s'oppose en partie au développement de la souveraineté alimentaire dans les pays dont la production agricole est principalement destinée à l'exportation[92].

Le développement des OGM entre dans le cadre de la controverse autour de la brevetabilité du vivant qui entérine la mainmise de l'économique dans le champ des activités humaines de subsistance via l'artificialisation des ressources naturelles librement partageables. Se pose également la question de la frontière technologique[93].

Ainsi, les débats autour des ogm dépassent largement le cadre scientifique et les décisions législatives et règlementaires des pouvoirs publics relèvent aussi du champ politique.

Traitement médiatique des ogm[modifier le code]

Plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que la question des OGM reste scientifique. Jean de Kervasdoué, agronome et économiste, considère dans Les prêcheurs de l'apocalypse que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Il écrit ainsi que « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque. »[94] Claude Allègre, géochimiste et ancien ministre, souligne également, dans Ma vérité sur la planète, le manque de traitement scientifique de la question et les préjugés qui règnent[95]. Il écrit que « La répulsion de certains contre les OGM touche au fanatisme » et considère que la lutte anti-OGM est devenue une « religion » avec ses « dogmes »[96]. Dans une émission de France 2, selon Marcel Kuntz, « un torrent de contrevérités et de manipulations fut déversé sur les téléspectateurs »[97].

De leur côté, les acteurs du mouvement anti-ogm regrettent que le public ne soit pas instruit de la question.Christian Vélot, chercheur au CNRS, et identifié malgré lui comme anti-ogm considère que cette mission est une vocation de l'institution à laquelle il appartient[98]. Par ailleurs, les acteurs de ce mouvement s'insurge de la présentation faite par les média d'un mouvement anti-ogm qui serait rétrograde et surtout contre les ogm médicaux quand leur opposition se limite aux ogm agricoles[99].

Avantages des OGM[modifier le code]

Les OGM présentent des avantages, dont une partie sont controversés, à la fois sur les plans économique, sanitaire et environnementaux.

L’utilisation de plantes transgéniques permet dans la majorité des cas aux agriculteurs d’accroître la productivité de leurs terres et de diminuer les intrants de pesticides, ce qui réduit l’impact des cultures sur l’environnement[13]. Les petits propriétaires des pays en développement sont selon l’ISAAA les principaux bénéficiaires de l'introduction des OGM[13], mais ce point ne fait pas l’unanimité.

Risques des OGM[modifier le code]

L’ensemble des biologistes s’accordent sur un risque de contamination des plantes sauvages par les nouveaux gènes introduits dans les plantes. Ce risque est pris en compte lors des autorisations de culture ; les autorités sanitaires autorisent l’utilisation d’OGM lorsqu’elles considèrent que le risque d’atteinte à la biodiversité est faible, cependant les mouvements anti-OGM considèrent que le risque demeure trop fort, et que les OGM ne doivent pas être autorisés à la culture.

Concernant les risques alimentaires, l’introduction de nouveaux gènes dans des plantes amnène dans une partie des cas à la production de substances toxiques pour l’homme. Les partisans des OGM considèrent que les échantillons qui satisfont aux tests des autorités sanitaires sont sains à la consommation, et notent d’ailleurs que d’après l’ONU aucun cas d’effet sur la santé humaine n’a été détecté[100]. L’ensemble des risques liés aux OGM ne font pas l'unanimité auprès de tous les acteurs du débat.

Aspects controversés des OGM[modifier le code]

Les OGM sont source de grandes divergences d’opinion, qui conduisent à une absence de consensus au sein des opinions publiques nationales, concernant les aspects économiques, environnementaux, et éthiques. Les avantages prouvés ou potentiels apportés par les OGM s’opposent à des risques sanitaires potentiels et à des craintes sur une éventuelle atteinte à la biodiversité.

Les décisions règlementaires des décideurs politiques varient fortement en fonction des pays et des périodes (multiples autorisations en Amérique du Nord ou au Brésil, autorisation de culture puis interdiction en France, etc.). Elles seraient prises sur des bases principalement politiques.

Acteurs des débats et traitement médiatique[modifier le code]

Le groupe de pression anti-OGM, très actif en Europe, peu au Canada, et minoritaire dans l’opinion publique américaine, communique au public sur les risques présentés, selon eux, par la culture d’OGM en plein-champs. Ils estiment que les autorités n’auraient pas suffisamment contrôlé les différents effets néfastes possibles des OGM. Ils sont considérés par les partisans des OGM comme des opposants au progrès de la science, pénalisant la recherche agroalimentaire et la compétitivité de leur propre pays au profit d’autres.

Les défenseurs de l'utilisation des OGM soulignent les avantages économiques et environnementaux que présenteraient les OGM et s’appuient sur le fait qu'à ce jour les principaux organismes sanitaires et scientifques, comme l’ONU ou le Conseil international pour la science, concluent à une absence de nocivité. Ils estiment que les autorités sanitaires prennent correctement compte des risques potentiels, et que la majorité des critiques des anti-OGM sont infondés, ne s’appuyant « que sur des incertitudes imaginaires voire mensongères tant sur le plan environnemental qu'alimentaire[101] ».

Selon une étude de Sylvie Bonny (INRA), le débat autour des OGM en Europe et tout particulièrement en France est focalisé sur les risques et non sur les avantages ; les medias de masse ont adopté une posture critique ou même négative, ont fait de la publicité aux mouvements anti-OGM, et cela expliquerait en partie l'opposition de la société civile. De même, plusieurs chercheurs se sont prononcés pour que les débats autour des OGM restent scientifiques ; ils considèrent que les médias français sont anti-OGM et empêchent la tenue d'un véritable débat scientifique. Jean de Kervasdoué écrit : « Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque[102]. » Dans le reste du monde, selon Marc Van Montagu, le débat serait également « centré sur des arguments émotionnels plutôt que sur l'examen des preuves scientifiques[103]. »

Aspects économiques[modifier le code]

Alors que l’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), organisation spécialisée dans le développement des OGM dans les pays en voie de développement, estime que la richesse créée en 2005 par les OGM pour les agriculteurs est un gain d'environ 4%[13], les partisans d'une agriculture paysanne voient au contraire dans le développement des OGM le renforcement de l'emprise de l'industrie agroalimentaire sur l'agriculture mondiale et un prolongement du choix d'une agriculture productiviste qui s'oppose en partie au développement de la souveraineté alimentaire dans les pays dont la production agricole est principalement destinée à l'exportation[réf. nécessaire][104].

Aspects éthiques[modifier le code]

Des critiques des OGM portent sur la rupture qu'opèreraient les OGM en franchissant la barrière des espèces. Des scientifiques pensent cependant que les modifications génétiques se placent dans le prolongement des opérations de sélection des plantes et des animaux, et d’hybridation réalisées par l’Homme depuis les débuts de l'élevage et de l'agriculutre. Des notions philosophiques ou religieuses sont également invoquées pour analyser et caractériser l’ensemble des enjeux éthiques.

Risques sanitaires[modifier le code]

Des associations et des scientifiques ont émis des doutes sur l’innocuité des OGM sur la santé des consommateurs. Les OGM pourraient contenir des substances toxiques, des allergènes. Pour l’ONU, le Conseil international pour la science, et les autorités sanitaires nationales des pays ayant autorisé les OGM pour la consommation, ces OGM autorisés sont sains.

Risques pour l'environnement[modifier le code]

Les OGM seraient selon les anti-OGM porteurs de risques sur la diversité génétique, provoquant des pollinisations croisées entre plantes parentes.

Coabitation avec l'agriculture biologique[modifier le code]

Le label « agriculture biologique » est soumis à des normes obligeant les produits alimentaires à respecter une teneur en OGM inférieure à 0,9 %. Des cas de « contamination » entre champs OGM et champs d'agriculture biologique peuvent avoir lieu si l’éloigenement entre cultures n’est pas suffisamment grand. Des controverses portent sur une durée de vie des graines longues qui pourraient dès lors se retrouver foruitement dans des champs des années après les cultures d’OGM.

  1. Simonetta Zarrilli, International Trade in GMOs and GM Products : National and Multilateral Legal Frameworks, Policy Issues in International Trade and Commodities, Study Series n° 29, ONU, p. 25
  2. Entretien agrobiosciences Alain-Michel Boudet. Professeur de biologie végétale. UPS/CNRS
  3. « Ancrée dans une culture particulière-l'oocidentale-, elle (la thèse de l'exception humaine) s'est inscrite pendant des siècles au rang des évidences de la culture savante occidentale, alors qu'elle est elle-même une exception culturelle » Jean-Marie Schaeffer La fin de l'exception humaine Essai Gallimard NRF 2007
  4. Entretien avec Bertrand Hervieu. Secrétaire général du Centre International de Hautes Etudes Agronomiques Méditerranéennes (CIHEAM). Ancien Président de l’Inra.
  5. Simonetta Zarrilli, International Trade in GMOs and GM Products : National and Multilateral Legal Frameworks, Policy Issues in International Trade and Commodities, Study Series n° 29, ONU, p. 24,25
  6. Les groupes transatlantiques des consommateurs appellent le gouvernment à se désister de son procès OGM engagé devant l'OMC 25-06-2003
  7. Le Conseil international pour la science, qui fédère les organisations scientifiques faisant autorité dans tous les domaines, a considéré dans une étude publiée en 2003, que la consommation des OGM contemporains est sans danger : « Currently available genetically modified foods are safe to eat. Food safety assessments by national regulatory agencies in several countries have deemed currently available GM foods to be as safe to eat as their conventional parts and suitable for human consumption. This view is shared by several intergovernmental agencies, including the FAO/WHO Codex Alimentarius Commission on food safety, which has 162 member countries, the European Commission (EC), and the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). » ; (en) New Genetics, Food and Agriculture: Scientific Discoveries – Societal Dilemmas, International Council for Science, mai 2003, p.8
  8. les OGM « qui sont actuellement sur les marchés internationaux ont passé avec succès des évaluations du risque et il est improbable qu’il[s] présente[nt] un quelconque risque pour la santé humaine », p. 3, [PDF] (fr) « 20 questions sur les aliments transgéniques », sur le site de l’ONU (consulté le )
  9. [PDF](en) « The Case for a GM-free Sustainable World », sur ISP Independant Science Panel
  10. Sciences Citoyennes
  11. OGM : les experts se renvoient la balle, mai 2006 INF'OGM
  12. Marie Monique Robin, Le monde selon Monsanto, de la dioxine aux ogm, une mulinationale qui vous veut du bien, p.116-125, Bienvenue au pays des portes tournantes, Arte Editions, coll. « La découverte » (ISBN 978-2-7071-4918-3)
  13. a b c d e f g h i j k l m et n [PDF] (en) Rapport 2006 de l'ISAAA, retrospective sur 10 ans, pages viii, xv, 36, 40
  14. Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde, Via Campesina, 22 mai 2008
  15. Terres inoccupées et semences brutes: des doctrines de la découverte aux brevets sur la vie, Observatoire de la Génétique, Centre de Bioéthique, Institut de Recherches Cliniques de Montréal
  16. FAO Les OGM dans la chaîne d'approvisionnement alimentaire
  17. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  18. Claude Allègre, Ma vérité sur la planète, p. 39.
  19. Claude Allègre, ibid , p. 40.
  20. « Armes médiatiques de destruction massive », Marcel Kuntz, site de l'Association française pour l'information scientifique, octobre 2007
  21. Fondation science citoyenne Présentation de Christian Vélot mars 2008
  22. Du danger des OGM médicaux Leur culture en plein champ présente des risques de contamination non maîtrisés Fondation science citoyenne septembre 2003
  23. Simonetta Zarrilli, International Trade in GMOs and GM Products : National and Multilateral Legal Frameworks, Policy Issues in International Trade and Commodities, Study Series n° 29, ONU, p. 25
  24. Entretien agrobiosciences Alain-Michel Boudet. Professeur de biologie végétale. UPS/CNRS
  25. Le Conseil international pour la science, qui fédère les organisations scientifiques faisant autorité dans tous les domaines, a considéré dans une étude publiée en 2003, que la consommation des OGM contemporains est sans danger : « Currently available genetically modified foods are safe to eat. Food safety assessments by national regulatory agencies in several countries have deemed currently available GM foods to be as safe to eat as their conventional parts and suitable for human consumption. This view is shared by several intergovernmental agencies, including the FAO/WHO Codex Alimentarius Commission on food safety, which has 162 member countries, the European Commission (EC), and the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). » ; (en) New Genetics, Food and Agriculture: Scientific Discoveries – Societal Dilemmas, International Council for Science, mai 2003, p.8
  26. [PDF](en) « The Case for a GM-free Sustainable World », sur ISP Independant Science Panel
  27. Sciences Citoyennes
  28. Les groupes transatlantiques des consommateurs appellent le gouvernement à se désister de son procès OGM engagé devant l'OMC 25-06-2003
  29. Marie Monique Robin, Le monde selon Monsanto, de la dioxine aux ogm, une mulinationale qui vous veut du bien, p.116-125, Bienvenue au pays des portes tournantes, Arte Editions, coll. « La découverte » (ISBN 978-2-7071-4918-3)
  30. [http://www.france.attac.org/spip.php?article1146#outil_sommaire_0 ATTAC France : la lutte contre les OGM
  31. Textes réunis par le CETIM en collaboration étroite avec Vía Campesina, Vía Campesina: une alternative paysanne à la mondialisation néolibérale., CETIM - Centre Europe-Tiers Monde
  32. FAO Les OGM dans la chaîne d'approvisionnement alimentaire
  33. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  34. Claude Allègre, Ma vérité sur la planète, p. 39.
  35. Claude Allègre, ibid , p. 40.
  36. « Armes médiatiques de destruction massive », Marcel Kuntz, site de l'Association française pour l'information scientifique, octobre 2007
  37. Fondation science citoyenne Présentation de Christian Vélot mars 2008
  38. Du danger des OGM médicaux Leur culture en plein champ présente des risques de contamination non maîtrisés Fondation science citoyenne septembre 2003
  39. Toujours selon l'Organisation des Nations unies : « De plus, on n’a jamais pu montrer que leur consommation par le grand public dans les pays où ils ont été homologués ait eu un quelconque effet sur la santé humaine. », p. 3, [PDF] (fr) « 20 questions sur les aliments transgéniques », sur site de l’ONU (consulté le )
  40. par exemple, opinion sur un site pro-OGM
  41. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  42. (en)Hungary overreacting on GMO issue, claims expert
  43. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.
  44. [http://www.inra.fr/internet/Directions/DIC/ACTUALITES/DOSSIERS/OGM/joly1.htm#01 Les OGM à l'INRA Risques et acceptabilité des biotechnologies : l'affaire d'un malentendu ? Pierre-Benoît Joly Unité d'Économie et Sociologie Rurales INRA Grenoble]
  45. « 86 % des Français réclament une interdiction des OGM »
  46. liste des sondages français, européens et internationaux sur la question des ogm
  47. [1]
  48. «  Strategies for developing Green Super Rice, Qifa Zhang, PNAS, 2007 »
  49. Le Conseil international pour la science, qui fédère les organisations scientifiques faisant autorité dans tous les domaines, a considéré dans une étude publiée en 2003, que la consommation des OGM contemporains est sans danger : « Currently available genetically modified foods are safe to eat. Food safety assessments by national regulatory agencies in several countries have deemed currently available GM foods to be as safe to eat as their conventional parts and suitable for human consumption. This view is shared by several intergovernmental agencies, including the FAO/WHO Codex Alimentarius Commission on food safety, which has 162 member countries, the European Commission (EC), and the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). » ; (en) New Genetics, Food and Agriculture: Scientific Discoveries – Societal Dilemmas, International Council for Science, mai 2003, p.8
  50. [PDF](en) « The Case for a GM-free Sustainable World », sur ISP Independant Science Panel
  51. Sciences Citoyennes
  52. (en) [PDF] Simonetta Zarrilli, International Trade in GMOs and GM Products : National and Multilateral Legal Frameworks, Policy Issues in International Trade and Commodities, Study Series n° 29, ONU, p. 25.
  53. Entretien agrobiosciences Alain-Michel Boudet. Professeur de biologie végétale. UPS/CNRS
  54. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.
  55. [http://www.inra.fr/internet/Directions/DIC/ACTUALITES/DOSSIERS/OGM/joly1.htm#01 Les OGM à l'INRA Risques et acceptabilité des biotechnologies : l'affaire d'un malentendu ? Pierre-Benoît Joly Unité d'Économie et Sociologie Rurales INRA Grenoble]
  56. « 86 % des Français réclament une interdiction des OGM »
  57. liste des sondages français, européens et internationaux sur la question des ogm
  58. Le Conseil international pour la science, qui fédère les organisations scientifiques faisant autorité dans tous les domaines, a considéré dans une étude publiée en 2003, que la consommation des OGM contemporains est sans danger : « Currently available genetically modified foods are safe to eat. Food safety assessments by national regulatory agencies in several countries have deemed currently available GM foods to be as safe to eat as their conventional parts and suitable for human consumption. This view is shared by several intergovernmental agencies, including the FAO/WHO Codex Alimentarius Commission on food safety, which has 162 member countries, the European Commission (EC), and the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). » ; (en) New Genetics, Food and Agriculture: Scientific Discoveries – Societal Dilemmas, International Council for Science, mai 2003, p.8
  59. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.
  60. Entretien agrobiosciences Alain-Michel Boudet. Professeur de biologie végétale. UPS/CNRS
  61. (en) [PDF] Simonetta Zarrilli, International Trade in GMOs and GM Products : National and Multilateral Legal Frameworks, Policy Issues in International Trade and Commodities, Study Series n° 29, ONU, p. 25.
  62. Le Conseil international pour la science, qui fédère les organisations scientifiques faisant autorité dans tous les domaines, a considéré dans une étude publiée en 2003, que la consommation des OGM contemporains est sans danger : « Currently available genetically modified foods are safe to eat. Food safety assessments by national regulatory agencies in several countries have deemed currently available GM foods to be as safe to eat as their conventional parts and suitable for human consumption. This view is shared by several intergovernmental agencies, including the FAO/WHO Codex Alimentarius Commission on food safety, which has 162 member countries, the European Commission (EC), and the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). » ; (en) New Genetics, Food and Agriculture: Scientific Discoveries – Societal Dilemmas, International Council for Science, mai 2003, p.8
  63. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.
  64. Entretien agrobiosciences Alain-Michel Boudet. Professeur de biologie végétale. UPS/CNRS
  65. (en) [PDF] Simonetta Zarrilli, International Trade in GMOs and GM Products : National and Multilateral Legal Frameworks, Policy Issues in International Trade and Commodities, Study Series n° 29, ONU, p. 25.
  66. [http://www.inra.fr/internet/Directions/DIC/ACTUALITES/DOSSIERS/OGM/joly1.htm#01 Les OGM à l'INRA Risques et acceptabilité des biotechnologies : l'affaire d'un malentendu ? Pierre-Benoît Joly Unité d'Économie et Sociologie Rurales INRA Grenoble]
  67. « 86 % des Français réclament une interdiction des OGM »
  68. liste des sondages français, européens et internationaux sur la question des ogm
  69. Sciences Citoyennes
  70. Le Conseil international pour la science, qui fédère les organisations scientifiques faisant autorité dans tous les domaines, a considéré dans une étude publiée en 2003, que la consommation des OGM contemporains est sans danger : « Currently available genetically modified foods are safe to eat. Food safety assessments by national regulatory agencies in several countries have deemed currently available GM foods to be as safe to eat as their conventional parts and suitable for human consumption. This view is shared by several intergovernmental agencies, including the FAO/WHO Codex Alimentarius Commission on food safety, which has 162 member countries, the European Commission (EC), and the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). » ; (en) New Genetics, Food and Agriculture: Scientific Discoveries – Societal Dilemmas, International Council for Science, mai 2003, p.8
  71. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.
  72. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/dossiers/brevetage/index.html
  73. courrier de l'environnement de L'INRA| Les risques théoriques liés aux OGM disséminés
  74. mention du « anti-GM lobby » (lobby anti-OGM) : (en) GM debate cut down by threats and abuse, Times higher education, 24 octobre 2003 ; Suspicion isn't proof, Telegraph, 07 mars 2004
  75. Résumé des sondages sur les OGM au Québec et au Canada 1994-2004, site de Greenpeace
  76. Voir section #La question des risques sanitaires
  77. par exemple, opinion sur un site pro-OGM
  78. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  79. Claude Allègre, Ma vérité sur la planète, p. 39.
  80. Claude Allègre, ibid , p. 40.
  81. « Armes médiatiques de destruction massive », Marcel Kuntz, site de l'Association française pour l'information scientifique, octobre 2007
  82. [PDF]Analyse scientifique de Monsanto, pages 5
  83. (en) Geoffrey Lean, « Exposed: the great GM crops myth »], The Independent, 20 avril 2008, article consulté le 22 avril 2008
  84. Selon l'Organisation des Nations unies : « De plus, on n’a jamais pu montrer que leur consommation par le grand public dans les pays où ils ont été homologués ait eu un quelconque effet sur la santé humaine. », p. 3, [PDF] (fr) « 20 questions sur les aliments transgéniques », sur le site de l’ONU (consulté le )
  85. Entretien agrobiosciences, 28 octobre 2003
  86. (en) [PDF] Simonetta Zarrilli, International Trade in GMOs and GM Products : National and Multilateral Legal Frameworks, Policy Issues in International Trade and Commodities, Study Series n° 29, ONU, p. 25.
  87. Entretien agrobiosciences Alain-Michel Boudet. Professeur de biologie végétale. UPS/CNRS
  88. Le Conseil international pour la science, qui fédère les organisations scientifiques faisant autorité dans tous les domaines, a considéré dans une étude publiée en 2003, que la consommation des OGM contemporains est sans danger : « Currently available genetically modified foods are safe to eat. Food safety assessments by national regulatory agencies in several countries have deemed currently available GM foods to be as safe to eat as their conventional parts and suitable for human consumption. This view is shared by several intergovernmental agencies, including the FAO/WHO Codex Alimentarius Commission on food safety, which has 162 member countries, the European Commission (EC), and the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). » ; (en) New Genetics, Food and Agriculture: Scientific Discoveries – Societal Dilemmas, International Council for Science, mai 2003, p.8
  89. [PDF](en) « The Case for a GM-free Sustainable World », sur ISP Independant Science Panel
  90. Sciences Citoyennes
  91. INRA Coexistence entre cultures OGM et non OGM en Europe
  92. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.
  93. FAO Les OGM dans la chaîne d'approvisionnement alimentaire
  94. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  95. Claude Allègre, Ma vérité sur la planète, p. 39.
  96. Claude Allègre, ibid , p. 40.
  97. « Armes médiatiques de destruction massive », Marcel Kuntz, site de l'Association française pour l'information scientifique, octobre 2007
  98. Fondation science citoyenne Présentation de Christian Vélot mars 2008
  99. Du danger des OGM médicaux Leur culture en plein champ présente des risques de contamination non maîtrisés Fondation science citoyenne septembre 2003
  100. Toujours selon l'Organisation des Nations unies : « De plus, on n’a jamais pu montrer que leur consommation par le grand public dans les pays où ils ont été homologués ait eu un quelconque effet sur la santé humaine. », p. 3, [PDF] (fr) « 20 questions sur les aliments transgéniques », sur site de l’ONU (consulté le )
  101. par exemple, opinion sur un site pro-OGM
  102. Jean de Kervasdoué, Les prêcheurs de l'apocalypse, p. 11
  103. (en)Hungary overreacting on GMO issue, claims expert
  104. « Nous les paysans et paysannes sommes la solution à la faim dans le monde », Via Campesina, 22 mai 2008.